Vaut-il mieux confier un projet à un producteur qui l'a aimé, mais qui ne peut l'optionner faute d'argent, (mais avec lequel le feeling passe), ou à un producteur fortuné qui pourra signer une option sans pour autant qu'il soit mieux placer pour le vendre ?
Ramassage des copies à la fin de la journée.
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6 commentaires:
Moi je crois que la pratique des options est révolue. Je te l'ai déjà dis ?
On dirait une question genre "tu préfères avoir des oreilles en bois ou sept orteils à chaque pied?"
Ben... aucun des deux?
Un producteur qui n'a pas d'argent, c'est franchement inquiétant : il y a de grandes chances qu'il n'ait pas d'influence non plus.
Quant au producteur pété de thunes qui optionne sans croire au projet... ça me paraît difficile.
Donc pour moi, réponse : b)
On a quand les notes, m'sieur?
Quand ce sera diffusé… ;)
En fait, il y a un piège. Ce n'est pas vraiment une équation mathématique puisqu'il y une variable insaisissable et non réductrice à une analyse purement scientifique: le facteur humain…
Aaah, d'accord, oui, le facteur humain...
Mais tu sais qu'on a remplacé tous les producteurs par des machines en 1996? Quant aux chargés de programmes, ça remonte à 1962, je crois.
non mais c'est la MODE en ce moment les options gratuites...
C'est quand même le summum, les option gratuites ! on signe un contrat qui dit texto qu'on travaille pour rien. C'est un peu dur à avaler...
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