Un mois et demi plus tard, après la Bretagne et le Cantal, je me sens beaucoup mieux. Et les envies reviennent. Notamment celle de passer réellement, durablement à la réalisation. Quand je vois les années qui ont passé, je me demande d’ailleurs ce que j’ai foutu pendant tout ce temps. Alors que depuis mes 12 ans, c’était mon ambition principale. Un documentaire pour Arte et quelques courts métrages, et c'est tout. Donc message aux jeunes générations, arrêtez de procrastiner, de profiter honteusement du système des intermittents du spectacle pour ne rien glander. Un jour on se réveille, et on a rien fait de ce qu’on voulait entreprendre. Comme disait l’autre, «la vie c’est ce qui se passe pendant qu’on est en train de rêver à autre chose».
Alors bien sûr, c’est plus facile à dire qu’à faire. Parce que les places sont chères, qu’il faut un réseau dans lequel je ne suis pas (encore), et qu’il faut tomber sur les bonnes personnes au bon moment.
Mais il faut toujours commencer par faire connaître ses envies, pour que tout le monde soit au courant. C’est ce que je fais.
Et puis travailler. Ça passe par exemple par l’écriture d’un nouveau court-métrage. C’est ce que je fais aussi.
Et ça tombe bien, avant la rentrée sur le plan scénaristique, j’ai un peu de temps…
2 commentaires:
En voilà une bonne nouvelle !
Tu vas louer la caméra de notre ami Guillaume ? ;)
Oh il va sûrement me la prêter. Après tout ce qu'on a fait pour lui ;)
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