Une petit forme en ce moment, même si les RDV s'enchaînent plutôt bien, grâce au travail de notre nouvel agent. Vendredi GMT, hier Kien, jeudi RDV prod. On a rencontré des producteurs jeunes et plein d'envies, avec lesquels le feeling est bien passé je crois. Ça tombe bien, avec Ced on a des tas de projets à leur proposer, on verra bien.Mais bon, on verra bien justement. Pour l'instant le concret reste abstrait et mon compte en banque me réveille la nuit.
Jamais content.
M'en fous, j'ai le droit non ?
7 commentaires:
Non, t'as pas le droit...
Bon, 1 pour, 1 contre. Un autre avis pour départager ?
Ben...ca dépend en fait...
Nan c'est normal de douter, parce que t'as pas choisi la voie la plus simple. Sur que derrière un guichet à coller des timbres ou au volant d'une rame de métro (ou à retirer les épines des roses), tu te poserais sans doute moins de questions...mais bon, je crois qu'on est d'accord hein...
Vous faites ce que vous avez à faire les gars. Douter de votre réussite reviendrait à douter de votre talent. Alors bon. Moi je sais comment ca va se terminer tout ca.
C'est les 7 d'or qui vous attendent les mecs. Les 7 d'or ! ;)
Ça y est, y'en a toujours un (ou une) pour dire qu'il est plus malheureux !
A Hollywood, il y a un psy pour scénaristes, Dennis Palumbo, qui a écrit plusieurs bouquins. Il raconte que l'une des analogies les plus fréquemment utilisées par ses patients est celle de Sisyphe (c'est pour ça le pseudo, oui....)
Le principe, c'est qu'à 99% du temps soit tu montes la putain de colline, soit tu la descends. Tu es rarement au sommet, et si tu y es, tu n'y restes pas longtemps...
Alors tu vois, tu as parfaitement le droit ne ne jamais être content, c'est ton métier qui l'exige... ça va mieux? Comment ça, non?
Ah si, beaucoup mieux même.
Merci !;)
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