9.3.07

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Voilà, c'est fini.
Merci encore à tous pour votre attention et votre soutien.

Je n'aurais jamais pensé être si triste en arrêtant, mais bon, il y aura d'autres aventures et la vie continue ;).

Salut !

7.3.07

Joyeux (mais oui) anniversaire !

Ce sera l'un de mes derniers posts, mais ça me fait plaisir.
Aujourd'hui, mon camarade et néanmoins partenaire d'écriture Cedric a une bougie de plus sur son gâteau.
L'occasion de mesurer le chemin parcouru depuis qu'on s'est rencontrés. Une belle histoire, comme dans les films (américains), qui nous a vus grimper une à une les marches du succès. Bon ok, le succès devrait arriver très vite, on y travaille. Et c'est bien ça le plus important d'ailleurs, le fait qu'on travaille aujourd'hui comme scénaristes. Car le pari n'était pas gagné, tant ce métier est difficile d'accès pour ceux qui n'ont pas la carte.
Mais bon, on y est arrivés, et j'en profite donc, puisque c'est sa fête (ça durera pas, qu'il en profite), pour lui dire merci. Merci pour sa confiance et son amitié, pour me supporter toutes les semaines aussi, moi, mes râleries et mes blagues vaseuses.
Surtout qu'on en est qu'au début du chemin.

Bon anniversaire donc Cedric, et n'oublie pas qu'après la pluie vient le beau temps…

2.3.07

Fin de saison

Je ne suis pas du genre à raconter ma vie facilement.
Je ne suis pas à l'aise dès qu'il s'agit de révéler une partie de ce qui m'est personnel.
Je ne suis pas à l'aise quand il s'agit de dire des choses sans les dire, et qu'il faut s'autocensurer pour éviter de contrarier untel ou untel.

Pourquoi alors, me direz-vous, s'être lancé dans l'aventure d'un blog ? Eh bien précisément parce que c'était une aventure, un truc rigolo, nouveau, ou tout simplement possible, par la grâce de la technologie galopante.
Parce qu'il fallait essayer, et voir ça comme une expérience. De la même façon qu'il serait dommage de ne jamais se laisser pousser la barbe, pour voir comment "ça vous va" (Les filles peuvent se laisser pousser les poils des jambes si elles veulent, ça doit le faire aussi, dans le genre expérience).

Bref, this is the end, et ce blog, même s'il restera quelque temps encore sur la toile, ne sera plus mis à jour à partir du 9 mars prochain.

Il aura duré un peu plus d'un an, et dans la centaine de posts que j'ai écrits, il y a quand même une bonne tranche de ma vie et de son évolution, à un moment où les choses ont vraiment bougé, et incroyablement vite.
L'arrivée d'un enfant, un changement de métier, même si écrire et réaliser a toujours été l'objectif que je me suis fixé depuis l'âge de 12 ans…

En relisant des passages au hasard, je prends conscience du chemin parcouru, et même si ça n'émeut que moi, c'est déjà ça…

Je suis assez fier de ce parcours, et comme c'est la dernière fois que je peux fanfaronner, aucune raison de me priver.
Entre les doutes et les espoirs, parfois dans la même journée, les bonnes et les mauvaises nouvelles, il y a une dramaturgie qui se dessine, et qui ressemble finalement à la vie que je me voyais vivre.

Mais je n'ai jamais vraiment su ni compris quels étaient les lecteurs, une quarantaine chaque jour en moyenne, qui venaient ici régulièrement. Tant il est vrai qu'un lecteur ne prend de réelle existence que s'il laisse des commentaires. Autrement, il appartient au grand tout virtuel dont je parlais dès mon deuxième post.
Je ne saurai par exemple jamais qui est ce lecteur situé en Finlande qui visitait régulièrement mes pages. En tant que scénariste, c'est le genre de choses qui m'amusent et me fascinent, parce que j'aime imaginer les personnages et les histoires qui se cachent derrière.

Je m'aperçois, en rédigeant ce post, qu'on ne prend vraiment plaisir à écrire un blog que si l'on se met à parler de soi. Et c'est vraiment là toute la difficulté. Parler de soi pour parler de soi ne m'intéresse pas. Mais parler de moi à travers des personnages et des récits inventés, là oui, ça m'excite, et ça donne même tout son sens à ma vie.
Alors c'est ce que je vais continuer à faire. Je vais continuer à écrire, mais des histoires, dans lesquelles je mettrai un maximum de ce que je suis.
Et moi seul saurai où est le faux et où est le vrai.

Merci à ceux qui ont suivi ce blog, en particulier depuis le début, depuis cette petite photo d'échographie où l'on voyait Tom recroquevillé, attendant la sortie. Aujourd'hui c'est un petit bonhomme plein d'énergie et de sourires, et ce blog lui est bien évidemment dédié. Je vais en garder une trace pour qu'il puisse un jour, s'il le souhaite, relire les exploits de son père, au temps où il n'était pas bien riche, mais très heureux…

27.2.07

Ça bosse, voilà, qu'est-ce que vous voulez que je vous dise de plus ?

23.2.07

Ça monte

Je n'ai pas eu le temps de changer mon "j-christ express" depuis la semaine dernière, et voilà qu'il est à nouveau d'actualité. C'est dire si la semaine a encore été supersonique.

La série fantastique que j'évoquais la dernière fois évolue dans un sens très positif. Hier, la productrice nous a reconfirmé qu'elle croyait beaucoup en ce projet, et même si à l'arrivée, ce ne sera pas du vrai fantastique, because télévision française, on est quand même très contents de travailler là-dessus. Surtout que pour la première fois, c'est un bébé à nous et entièrement à nous !

Pour l'autre grosse série sur laquelle nous travaillons, le casting a été lancé, et ça veut dire que là aussi les choses s'enchaînent rapidement.
J'ai hâte de savoir à quoi vont ressembler tous ces personnages qu'on a imaginés depuis tant de semaines, et qu'on a même déjà fait vivre et parler à travers quelques scènes dialoguées qui vont servir pour faire passer les tests du casting.

Bref l'excitation monte de tous côtés.
Scénariste, c'est un beau métier, quand on a la chance de le pratiquer !

16.2.07

Des séries fantastiques

Un article intéressant de Télérama (ICI) rencontre mon interrogation de la semaine, à propos d'un projet de série fantastique que nous avons proposé à un producteur.
Aux USA, une série fantastique, on sait ce que c'est: c'est X-Files, Invasion, Surface, Threshold, les 4400, j'en passe et des meilleures. C'est-à-dire des séries dans lesquelles le fantastique est vraiment assumé, et qui nous plongent dans des ambiances inquiétantes voire cauchemardesques, où les héros vont se retrouver confrontés à des situations et des phénomènes qui les dépassent. Des phénomènes que finalement rien n'explique, si ce n'est le fait que l'univers est régi par des lois qui échappent à la sphère de la rationnalité.
Le monde est inquiètant et il le restera, même si nos personnages, eux, en sortent transformés, ayant appris quelque chose de la vie et de leurs rapports aux autres.

Et en France ? Eh bien en France la situation n'est pas du tout la même. Quand on propose une série fantastique à un producteur, on s'entend dire: "Très bien, mais il faut une explication rationnelle à la fin…"
Pourquoi ?
Je n'en sais fichtre rien. Peut-être parce que la France est le pays de Descartes, et que rien ne doit échapper à la raison. Peut-être que les diffuseurs pensent que la télévision est assez anxiogène comme ça à travers ses journaux télévisés, et que la ménagère quand elle rentre chez elle n'a qu'une envie, ne pas se poser de questions et surtout regarder les publicités sans crainte et sans angoisses.

Alors bien sûr, il y a quelques contre exemples comme David Nolande ou Greco, mais dans l'ensemble le discours reste le même. Le plus bel exemple est peut-être Dolmen, série dans laquelle les menhirs saignent (ah, intéressant) mais où on apprend à la fin qu'un pauvre gars qui voulait se venger a mis des glaçons de sangs dans les nobles mégalithes…

C'est quand même se priver à la fois d'une source d'histoires et de personnages passionnants, mais c'est aussi renoncer à assumer notre questionnement philosophique. Qui sommes-nous, où allons-nous, voilà des questions que la fiction télévisuelle pourrait développer, nous donnant la chance de pouvoir réfléchir à notre condition d'humains sur terre, avec peut-être aussi, l'envie de faire bouger les choses, sur le plan politique, climatique, relationnel…

Il y a beaucoup de frilosité à libérer ces forces vives en nous, et j'ai bien peur que malgré quelques tentatives, nous devions subir pendant longtemps encore les explications tartignolles de phénomènes qui auraient dû rester formidablement étranges…

13.2.07

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Bon ben la semaine sera moins chargée finalement. Et l'on vient de prendre conscience qu'on ne peut pas (sait pas ?) tout écrire. La série jeunesse pour France 2 s'arrête pour nous. La prod trouve que le ton de nos continuités dialoguées ne s'accorde pas avec les premiers épisodes écrits.
Il y aurait beaucoup à dire là-dessus, mais je ne dirai rien.
Enfin bon, quand même je…

Raaah non, je ne peux pas. C'est chiant ce blog à la fin. Vivement la retraite, que je puisse me soulager et me fâcher avec tout le monde !

Tout ce qu'on peut dire, finalement, c'est que ça fait moins d'argent mais plus de temps pour avancer sur les autres projets. Projets qui, il faut bien le dire, nous tiennent beaucoup plus à coeur… ;)

12.2.07

Une semaine chargée

Je crois que cette semaine va filer comme l'éclair.
Entre le séquencier d'une grosse série à finaliser, le synopsis d'une autre, l'élaboration d'une troisième et l'attente des retours sur une quatrième, on va pas chômer !

Mais que ça fait du bien de travailler à fond !

Et mine de rien, ce message est mon 100ème post depuis que j'ai ouvert ce blog il y a plus d'un an…

7.2.07

Jusqu'où aller trop loin ?

Il y a une question que je me suis souvent posée, à propos de la peinture abstraite.
Comment et quand l'artiste sait-il qu'il a terminé sa toile ? Qu'est-ce qui lui fait dire que ça y est, cette tache verte qui dégouline dans le coin à droite est suffisament grande ? Que cette série de petits pointillés blanc traversent la toile au bon endroit et en nombre suffisant ?
Si elle est fascinante à propos de la peinture, la question l'est aussi bien sûr pour toutes les disciplines artistiques.
Le scénario, au hasard.
Quand sait-on qu'une histoire n'a plus besoin d'être retouchée, améliorée, réécrite ?
Et qui décide de cela ? Parce que dans le cas de la peinture, c'est simple: le peintre est roi. Il est tout seul dans son atelier et il livre ce qu'il veut.
Pour ce qui est du scénario, notamment de télévision, il est clair que les choses se compliquent. Il y a le ou les auteurs, le réalisateur, le ou les producteurs, le diffuseur… plus la femme du producteur, la fille du diffuseur, la maîtresse du réalisateur…
Et voilà qu'un scénario imaginé par des auteurs, dont c'est quand même le métier, se voit remodelé, transformé au gré des envies de gens qui ont tous un avis différent sur le sujet…

Ces questions, je me les posais déjà auparavant, quand je rêvais qu'un jour je serais scénariste.
Maintenant que je le suis, tout cela prend un sens très aigü et je l'avoue, parfois difficile à gérer…

5.2.07

Rebonds

Ce week-end, la productrice de P. Films, de retour du festival de Clermond-Ferrand, me passe un petit coup de fil.
Elle a rencontré plein de gens et leur a parlé de l'Ombre des mères, l'un de mes projets de court-métrage.
Elle a eu des super bons contacts et y croit dur comme fer. En tout cas, ça fait plaisir de voir que sa motivation est restée intacte au fil des mois.
C'est vraiment un combat le court-métrage, y'a pas d'autre mot, mais on va y arriver !

Et ce matin, on a rendez-vous avec Ced chez notre agent pour faire le point sur les différentes séries sur lesquelles nous travaillons. Ensuite, il faudra rentrer dare-dare à la maison pour écrire un nouvel épisode de H.
Allez, la semaine démarre bien !

2.2.07

Mes messages s'enmailent

J'avais cru avoir une bonne idée en prenant une adresse mail en "ugs". Pour passer pour un scénariste professionnel, sérieux, tout ça, je n'y voyais que des avantages.

Et voilà que depuis quelques jours, rien ne va plus.
Les messages que j'envoie sont cryptés, genre "Sælut, ̵îÏ߆îº, Çê va ?¬", et les mails que je reçois de certains interlocuteurs (des producteurs en plus !) comportent juste leur "bonjour" et leur signature, et rien au milieu…
Alors si le Webmail de l'UGS ne s'arrange pas bientôt, je vais prendre des résolutions drastiques et changer de crèmerie. Non mais.
Alors peut-être une adresse Free, avec possibilité de récupérer les mails grâce à Thunderbird, dont Isa m'a dit le plus grand bien. Mais problème, j'ai 2 Macs, et j'aurais dans ce cas de figure 2 dossiers différents avec répartition de mes mails sur ces 2 ordis…

Ou alors, prendre une adresse en Gmail, qui est paraît-il le Webmail du 21e siècle.
Mais là, ça a beau être gratuit, il faut quand même se faire envoyer un SMS des States pour recevoir un code et se faire inscrire. Rien n'est simple.

À moins que l'un de vous n'ait une invitation Gmail à m'offrir… ?
À votre bon coeur messieurs dames !

1.2.07

Résolutions

Bon allez, je les sens bien là, vos reproches à propos de ce blog. "C'est mis à jour tous les 36 du mois", "À quoi ça sert de faire un blog dans ces conditions" et patati et patata...
Ok, ok, vous n'avez pas tort. Et le fait d'avoir un emploi du temps de ministre ne justifie pas un tel manque de respect pour mon public (on dirait Cedric qui écrit ; ).
Donc, comme bonne résolution de l'année, je me suis dit que je vous donnerais des nouvelles plus régulièrement, et même si je n'ai rien à dire, je me ferai un plaisir de vous le dire quand même.

Mieux, je me suis décidé à mettre bientôt en ligne ici mon deuxième roman, à raison d'un chapitre par semaine.
Ah vous voulez de la lecture ? Vous allez en avoir !
;)

27.1.07

Un long silence de fiançailles

Difficile en ce moment de trouver le temps d'alimenter ce blog. En fait, les journées s'écoulent à la vitesse de la lumière, pris que je suis par les séries sur lesquelles nous travaillons, Ced et moi.
Deux séries pour M6, dont une énorme, en volume et en investissement personnel, une série jeunesse sur laquelle nous sommes moins impliqués mais qu'il faut bien écrire aussi, et d'autres projets parce qu'il faut bien aussi préparer l'avenir.
Et surtout, des réunions, toutes les semaines, pour faire le point, pour se mettre d'accord avec les autres auteurs, la production, pour avancer tous ensemble.
Il n'est bien sûr pas question de se plaindre, et comparé à la même époque l'année dernière, je suis le plus heureux des hommes.
C'est juste curieux de voir à quel point les choses peuvent changer du tout au tout en un rien de temps.
Mes journées étaient quasi vides. Aujourd'hui 24 heures ne suffisent plus. Alors oui, j'ai parfois l'impression d'avoir un peu "épousé" ce métier, pour le meilleur et pour le pire…
Mais bien évidemment, je ne regrette rien !

14.1.07

Créer le dialogue

Vendredi matin, nous avions rendez-vous, Ced et moi, dans une prod pour parler d'un épisode de série jeunesse pour lequel nous venions de fournir une première version.
Discussion intéressante, notamment à propos des dialogues.

Ah les dialogues, on pourrait disserter longtemps là-dessus: faut-il que les personnages parlent comme dans la vraie vie ? Et quand ce sont des ados, doivent-ils s'exprimer à coup de "je kiffe trop ton sonblou" ou "j'ai grave la dalle" ?

Le problème, comme disait l'autre, c'est que le vrai peut parfois n'être pas vraisemblable, et que les personnages de fiction ont une vie qui leur est propre, assez loin de la nôtre même, si on y réfléchit bien. Toute la difficulté consiste alors à savoir comment leur donner de la chair, une personnalité, bref une caractérisation sans en faire des robots ou des caricatures. Vaste programme.

Pour accomplir cette mission, il y a plusieurs pistes possibles. Par exemple celle qui consiste à regarder encore et encore des (bons) films et des (bonnes) séries, pour s'imprégner de cette petite musique des mots, si particulière. D'ailleurs une chose m'a toujours étonné: quand je regarde une série américaine doublée en français, j'ai toujours le sentiment que les dialogues sont plus naturels que dans une série française, même bonne, où les acteurs parlent "nativement" en français.
Après y avoir longuement réfléchi, je pense que cela est dû au fait que, pour doubler un acteur étranger, en prenant soin à la fois de garder le sens de ses propos et de correspondre aux mouvements de ses lèvres, il faut forcément construire des phrases très simples, directes, sans emphases ni circonvolutions, bref se débrouiller pour faire passer "une idée par phrase".
Après, c'est la situation qui fait la force de la scène, c'est-à-dire la dramaturgie. Et là, force est de constater que les américains sont dans ce domaine plus forts que nous.
Alors faux débat le dialogue ? Ce serait juste une question de "pourquoi les personnages disent ce qu'ils disent, et non comment ils le disent ?",
C'est vrai en y repensant, que dans les pièces de Molière ou de Shakespeare, au hasard, les personnages ont tendance à tous parler de la même façon, qu'ils soient servants ou seigneurs. Mais en revanche, ils sont loin d'agir de la même façon dans une situation donnée…

Mais, situations ou pas, comme il faut bien arriver à faire parler ses héros, il y a une autre solution pour acquérir la musique du dialogue. C'est tout simplement d'en écrire, de pratiquer, encore et encore. Et magiquement, c'est vrai qu'on s'améliore, qu'on arrive petit à petit à polir des expressions à rallonge pour en faire des phrases efficaces et claires.

Le danger étant, par la suite, de s'habituer à cette facilité et tomber dans la virtuosité, la phrase pour la phrase, en oubliant l'histoire et ses personnages…

10.1.07

2007, version turbo

Bon y'a pas à dire, l'année commence en fanfare. Je ne vais pas vous faire le détail des séries et/ou projets sur lesquels on travaille pour n'effrayer ni vous ni les commanditaires.
Mais à force de réclamer du travail pendant ces deux dernières années, on a dû avoir les bons génies à l'usure et du coup ça déboule de partout !
Mais on va surtout pas se plaindre hein, ce serait un comble.

En tout cas, Ced et moi venons de mettre la dernière main à une continuité dialoguée d'une série jeunesse, et mine de rien, ça faisait un petit moment qu'on avait pas pratiqué à ce stade. Parce que les projets, les synospsis, les bibles, les pitchs et autres traitements c'est bien, mais rien ne vaut le plaisir de rentrer dans le vif du sujet, de donner chair à des personnages, de les entendre parler… C'est là que le métier de scénariste confine au divin, toute modestie mise à part, bien sûr.
Après, c'est juste une bonne gestion de l'emploi du temps. Je viens d'ailleurs d'acquérir un petit PDA dont je suis déjà amoureux…
Allez je vous laisse, mon téléphone sonne !

5.1.07

2007 !

Le temps passe incroyablement vite en ce moment. Et c'est bien. Mais du coup, j'ai moins de temps pour alimenter ce blog. Alors certes, je ne vais pas (encore) l'arrêter, comme mon compère Cedric, mais je risque de ralentir le rythme (bon, il était déjà pas très élevé me direz-vous...).

Des vacances en famille pour Noël et jour de l'An, et puis une reprise du travail qui affole les compteurs. Une grosse série, une autre grosse série, une proposition de faire les dirdecoll sur une autre, une option sur l'un de nos projets importants...
Je n'ai jamais autant apprécié qu'on me souhaite une bonne année, parce que j'ai l'impression que les voeux qu'on m'adresse sont, pour la première fois, en parfaite adéquation avec la tournure que prend cette nouvelle année.
Alors à mon tour je vous souhaite du bonheur, de la santé hein, sans quoi les choses sont quand même plus difficiles, et puis des projets, des projets et encore des projets, avec bien sûr, la réussite au bout.
Car se lever chaque jour en sachant pourquoi on se lève, c'est quand même le pied...
Bonne année 2007 à tous !