Une bête panne du serveur de Blogspot m'a empêché ces derniers jours de vous raconter mes dernières aventures au pays de l'audiovisuel. Du coup, contrairement à mon camarade Cedric, je n'ai pas pu vous faire profiter de l'évolution en dents de scie de mon état d'esprit durant ces trois derniers jours. À la place d'un suspense savamment orchestré, vous aurez donc droit à un simple synopsis, pardon résumé.
Lundi, belle rencontre avec une directrice littéraire toute jeune et pleine d'envies folles. Ça tombe bien, on a plein de projets pas raisonnables à lui proposer. On verra bien ce que ça donne, en ces temps où l'on a vraiment l'impression que tout est possible, tant les diffuseurs sont secoués par l'arrivée du 52'. Profitons en, ça ne durera pas.
RDV le même jour chez une productrice avec laquelle tout scénariste qui se respecte rêve de travailler un jour, pour parler d'une de leur série jeunesse qui cartonne. On avait cru comprendre qu'ils cherchaient des auteurs, mais là, on comprend qu'on arrive trop tard. On prend un coup de froid.
Mais rebondissement le lendemain. La dir litt de cette même série nous apprend que l'équipe d'auteurs n'est pas encore au complet. On doit la voir la semaine prochaine. On reprend des couleurs.
Et puis mardi, RDV dans une autre boîte de prod avec laquelle tout
scénariste qui se respecte a envie de travailler, pour parler d'une série policière dont le pilote a cartonné. On est retenu pour passer un ultime test, chargé de prouver qu'on est les rois de la structure en 52'. Résultat le 6 novembre.
Du coup, notre rdv avec notre agent, hier, a été un moment de plaisir. On avait plein de choses à lui dire, et je crois que ça l'a bien motivée pour nous trouver d'autres RDV.
L'aventure continue.
Putain, j'ai parfois l'impression d'être un héros de sére 52'. C'est quand l'acte 4 ?
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
4 commentaires:
T'es qui toi ?
Merci !! Merci !!! (courbettes dans tous les sens)
Ah, tu dois te tromper de blog...
Ah ben putain, vieux motard que jamais ! Il manquait que toi ! (enfin presque...)
Enregistrer un commentaire